Modélisation 3D: Surgeon Paper

M. LAPIN [Original, Surgeon Paper], avec le papier « Océan de Vagues » IMPRESSION ORIGINALE.

La première fois que j’ai vu une sculpture en papier dans ce style, j’ai tout de suite voulu essayer. Je travaillais déjà avec le papier, la colle, les cutters ; la première fois j’ai utilisé un patron gratuit de cerf trouvé sur le net.

J’ai beaucoup aimé le résultat et j’ai donc approfondi le sujet et me suis formé grâce à de nombreux tutoriels afin de pouvoir maitriser toutes les étapes de la création, et modéliser mes propres modèles.

M. LAPIN & CADEAU [Original, Surgeon Paper], avec le papier « Déluge de Coeurs« IMPRESSION ORIGINALE.

Cela demande trop de concentration pour penser à autre chose qu’à ce que je suis en train de faire !

C’est généralement lorsque mon esprit commence à s’évader que je commets des erreurs, c’est le moment que je choisi pour prendre une pause.

LES 3 PETITS LAPINS [Original, Surgeon Paper], avec les papiers IMPRESSION ORIGINALE.

Etant dans une période de transition professionnelle, je suis amené à régulièrement me déplacer.

En ce moment je vois des arbres, la ville de Marseille, et Notre Dame de la Garde au loin. Les trois quarts supérieurs de la vue sont remplis d’un magnifique ciel bleu la plupart du temps.

Marseille c’est un peu la Californie française… sans la haute technologie et les stars de cinéma.

Je fonctionne beaucoup à l’émotion : tout ce qui peut m’en procurer est un élément déclencheur d’une envie de créer. Cela peut être de la musique, un texte, un paysage, l’œuvre d’un autre artiste…

Mes sources d’inspiration sont illimités et bien souvent inattendues, mais elles ont toutes en commun d’impliquer les sens, le plus souvent la vue, mais l’ouïe et le toucher ont une part non négligeable.

La première étape est la modélisation 3D, cela se passe sur l’ordinateur : j’utilise le logiciel Blender. La création d’un objet en volume sur un écran plat demande une bonne vision dans l’espace, et une certaine capacité d’imagination.

Lorsque je suis satisfait de l’objet 3D, j’utilise un autre logiciel pour le « déplier » virtuellement : Pepakura. Cela permet d’obtenir un patron imprimable, et d’agencer les différentes facettes pour optimiser la faisabilité de l’étape suivante : l’assemblage.

L’étape suivante est l’impression du patron. C’est à ce moment-là que l’objet sort du virtuel pour exister dans le monde réel, tangible… Mais il reste encore beaucoup à faire : découper chaque pièces, les plier et les coller une par une afin de reconstituer l’objet en volume.

MME LAPIN [Original, Surgeon Paper], avec le papier « Campanules Lilliputiennes« IMPRESSION ORIGINALE.